De la fenêtre de chez moi, je vois
l’arrêt de vus, une véritable fourmilière, et la boulangerie ; autrefois,
lorsque j’allais en cours, elle était ouverte tous les matins, ça sentait le
pain au chocolat et ça réveillait car il y avait des émotions.
Le bus, c’est un long moment où je fais
place au sommeil.
Il n’y a aucune fenêtre au lycée, elles
sont toutes fermées.
L’endroit où je me sens bien n’est
sûrement pas l’endroit où l’on verra une seule fenêtre. Mais avec un peu
d’imagination, tout endroit est une fenêtre.
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